Usuário convidado
27 de fevereiro de 2023
Nous apprécions de venir au Rhul, mais malheureusement notre dernière visite fut un véritable désastre ! J’avais promis à ma mère de 95 ans, un déjeuner agréable avec une bouillabaisse unique dans ce restaurant où seule la splendide vue panoramique n’a pas changé. Nous ne sommes pas des habitués des commentaires et préférons le contact direct, mais malheureusement la patronne pendant le chaos de ce service de ce dimanche 22 janvier avait disparu au stade le plus terrible de notre désarroi. Impossible de l’interpeller, invisible,une véritable dérive. Nous avons l’habitude d’un restaurant plutôt agréable avec un service particulièrement professionnel notamment avec Igor. Ce dimanche était le résultat d’un surbooking de table « honteux » Ajouter des rallonges de tablées dans tous les sens avait transformé le lieu en une véritable kermesse avec un niveau de sonorité inimaginable, des serveurs qui couraient dans tous les sens et un chariot de desserts, congédié dans l’angle des toilettes. Le plus grave fut qu’après une heure et demi d’attente et des oursins qui auraient fait rougir de honte la qualité de ceux de Carry bien meilleurs, nous recevions enfin notre bouillabaisse rapidement présentée, servie dans des règles plus qu’aléatoires. Mon épouse Nathalie, lasse de la bouillabaisse avait commandé un Saint-Pierre. Ce Saint-Pierre n’avait d’égal que sa forte ressemblance avec une semelle de 10 cm carrée séchée au soleil de marseille .Nous l’avons fait gentiment retourner en cuisine ….toujours pas de patronne à l’horizon de guerre, lasse, n’ayant plus de Saint-Pierre en cuisine, Nathalie fut dans l’obligation de consommer la bouillabaisse. Hormis le combat de ces pauvres serveurs en véritable déroute , la bouillabaisse est restée « honorable » mais pour être tout à fait honnête, a très certainement souffert aussi de la situation, car les poissons etaient« légèrement » trop cuits et ça on peut le comprendre vu les circonstances de cette confusion générale fort regrettable pour la classe historique de cet établissement.(1953) Le chariot de desserts qui a pour habitude de venir se frotter à la table à l’instar des grands établissement de l’époque , était toujours coincé à proximité de la porte des toilettes et n’avait pas du tout l’intention d’être conduit à proximité de notre table par les serveurs. Ma mère du haut de ses 95 ans ne pouvait comprendre qu’aujourd’hui ce chariot reste coincé dans un coin, en raison du surbooking, des tables, empêchant la circulation des serveurs des clients et du chariot. Pour conclure, quelle ne fut pas notre déception à leur dégustation . les desserts ne sont plus du tout à la hauteur de ce que nous avons connu! Étant attaché à cet endroit et ayant souvent donné des avis très emphatiques sur le Rhul à des amis marseillais qui me bassinaient sur les qualités très supérieures de la bouillabaisse de Michel ou du Miramar, je ne suis pas certain de continuer à être fidèle à mes engagements. Je suis conscient que la direc
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